Chant antimilitariste des années 1930.
Il dénonce l'atrocité de la guerre pour le peuple au moment de l'arrivée de Hitler au pouvoir alors que le chauvinisme est développé et que la jeunesse est embrigadée dans l'armée.
Que tu as de beaux champs d’orge Giroflé Girofla
Ton verger de fruits regorge, le bon temps c’est là !
Entends-tu ronfler la forge Giroflé Girofla ?
L’canon les fauch’ra, l’ canon les fauch’ra
Que tu as la maison douce Giroflé Girofla,
L’ombre y dort, la fleur y pousse,
L’ bonheur y viendra !
Vois la nuit qui devient rousse, Giroflé Girofla,
L’avion la brûl’ra (bis)
Que tu as de belles filles, Giroflé Girofla,
Dans leurs yeux où le ciel brille,
L’amour descendra !
Sur la plaine on se fusille, Giroflé Girofla,
L’soldat les violera (bis)
Que tes fils sont forts et tendres, Giroflé Girofla,
C’est plaisir de les entendre
A qui chantera
Dans 8 jours on va me les prendre, Giroflé Girofla,
L’corbeau les mangera (bis)
Tant qu’y aura des millitaires, soit ton fils, soit le mien
On n’verra pas toute la terre,
Jamais rien de bien !
On t’tueras pour te faire taire, par derrière comme un chien,
Et tout ça pour rien (bis)
Il dénonce l'atrocité de la guerre pour le peuple au moment de l'arrivée de Hitler au pouvoir alors que le chauvinisme est développé et que la jeunesse est embrigadée dans l'armée.
Que tu as de beaux champs d’orge Giroflé Girofla
Ton verger de fruits regorge, le bon temps c’est là !
Entends-tu ronfler la forge Giroflé Girofla ?
L’canon les fauch’ra, l’ canon les fauch’ra
Que tu as la maison douce Giroflé Girofla,
L’ombre y dort, la fleur y pousse,
L’ bonheur y viendra !
Vois la nuit qui devient rousse, Giroflé Girofla,
L’avion la brûl’ra (bis)
Que tu as de belles filles, Giroflé Girofla,
Dans leurs yeux où le ciel brille,
L’amour descendra !
Sur la plaine on se fusille, Giroflé Girofla,
L’soldat les violera (bis)
Que tes fils sont forts et tendres, Giroflé Girofla,
C’est plaisir de les entendre
A qui chantera
Dans 8 jours on va me les prendre, Giroflé Girofla,
L’corbeau les mangera (bis)
Tant qu’y aura des millitaires, soit ton fils, soit le mien
On n’verra pas toute la terre,
Jamais rien de bien !
On t’tueras pour te faire taire, par derrière comme un chien,
Et tout ça pour rien (bis)