Écrit au camp de Bogermoor
Loin vers l’horizon s’étendent
Les grands prés marécageux
Pas un seul oiseau ne chante
Dans les arbres secs et creux
(Dans ces vieux troncs secs et creux - autre version)
Oh ! terre de détresse
Où nous devons sans cesse
Piocher
Bruits de bottes et bruits des armes
Sentinelles jour et nuit
Et du sang des cris des larmes
La mort pour celui qui fuit.
Mais un jour dans notre vie
Le printemps refleurira
Libre alors o ma patrie
(Liberté, liberté chérie)
Je dirai tu es à moi
Oh terre d’allégresse,
Où nous pourrons sans cesse
Aimer